« Un conte est un voyage
qui n'a pas de fin »
qui n'a pas de fin »
Le conte classique réunit tous les personnages et phénomènes qui peuplent notre quotidien : le bon et le méchant, le héros et l'antihéros, la tristesse et le bonheur, la vie et la mort. Et, bien sûr, l'échec d'un rêve, d'une action ou d'une ambition et leur réussite.
Les règles établies par les conteurs classiques basent sur le chiffre trois. Le héros - ou antihéros - dispose toujours de trois essais dont deux sont obligatoirement condamnés à échouer. La troisième fois, il gagne la main de la princesse, tue le méchant, libère son peuple ou, tout simplement, vit heureux avec sa belle et sans soucis jusqu'à la fin de ses jours...
...sous condition qu'il ait le courage et
la persévérance de tenter sa
chance une troisième fois.
la persévérance de tenter sa
chance une troisième fois.
La dernière phrase d'un conte marque la fin d'une période ou le résultat d'une action. Toutefois, l'imagination du public est libre de continuer l'histoire selon son propre goût - et selon ses propres expériences.
Pendant ses ateliers de conte, Jean-Marc Talamoni oublie temporairement sa « corsitude ». Ils traitent du conte et de l'imaginaire, de conscience de soi, du corps, de l'esprit libéré - et du monde entier.
Les formules des ateliers varient entre deux heures par semaine au cours de l'année et trois week-ends, 14 heures par week-end. Les ateliers aboutissent à une (ou deux pour les ateliers à l'année) restitution sur scène.
Pour plus d'informations, veuillez contacter Jean-Marc Talamoni
L'imaginaire et l'esprit libéré Contenu des ateliers Travaux pratiques Communication et développement de l'imaginaire L'imaginaire à la rencontre de soi Imaginaire et confiance en soi Conte classique et vie en société Création de conte et art de la communication orale S'écouter et écouter les autres Oralité, langage du corps et gestuelle À quelle public les ateliers s'adressent-ils ?
Celui qui maîtrise la magie de l'imaginaire mène sa vie comme les personnages d'un conte. Il sait qu'un échec n'est que la base de la réussite et que la persévérance n'est pas un vice - même si, vu de l'extérieur, elle pourrait être interprétée comme manque d'ambition...
Et il sait aussi que, souvent, une perspective juste un petit peu déplacée peut transformer le perdant en gagnant, la tristesse en bonheur.
La confiance dans la réussite de la troisième fois protège le « héros » du stress provoqué par la crainte de l'échec.